L’évolution du monde du travail vers plus de flexibilité et d’adaptabilité, les avancées technologiques ainsi que la tendance à la recherche d’optimisation des coûts de la Mobilité Internationale ont permis à de nouvelles formes de mobilité de prendre de plus en plus d’ampleur, transformant la manière dont les professionnels collaborent par-delà les frontières.
Qu’il s’agisse de télétravail à l’international, du « commuting » international, des « short term » ou « virtual assignments », l’essor de ces pratiques présente des opportunités certaines pour les organisations qui les intègrent dans leur stratégie. Elles peuvent ainsi accéder à un vivier de talents plus global et moins dépendant de leur localisation géographique, bénéficier d’une flexibilité appréciable, notamment dans le cadre de projets et, également, mieux maîtriser leurs coûts liés à la Mobilité Internationale.
Pour les équipes responsables de la Mobilité Internationale, intégrer durablement ce type de pratiques soulève néanmoins des questions inédites et complexes en matière de fiscalité, de protection sociale et/ou de droit du travail.
Pour Nathalie Hellio, Partner and Managing Director d’HELMA International, société qui accompagne depuis 2004 les entreprises dans la gestion de leurs mouvements internationaux dans toutes les dimensions (conseil, immigration, relocation, digital..), la gestion de ces missions non traditionnelles nécessite une appréhension en amont de toutes leurs incidences, qui sont interdépendantes :
« Le risque management est au cœur de la MI et ce sera le défi des années à venir. »
Approfondissez l’ensemble de ces sujets lors de la formation "Gérer les nouvelles formes de Mobilité Internationale" co-animée par :
Nathalie HELLIO
Partner and Managing Director, HELMA INTERNATIONAL
Anne-Flore MIRGALET
Head of Advisory Practice, HELMA INTERNATIONAL